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dimanche 3 mars 2013

L'acceuil de khenifra



La ville de khénifra:


 Située au sud des régions précédentes, la province de khenifra s’intègre à la fois dans le Haut Atlas et le plateau central, ce qui explique son relief accidenté où altèrent la montagne et les plateaux dont l’altitude est variable. Trois régions naturelles bien distinctes caractérisent cette province ; la bassin versant de la haute Moulouya correspond administrativement au cercle de Midelt, limité au Sud par le Haut Atlas culminant au jbel Ayachi (3757m), et Moâsker (3277m), au Nard par le causse du Moyen Atlas.La partie centrale de la province, qui correspond administrativement au cercle d’El Kbab, n’est autre qu’une partie du Dir du Moyen Atlas, c’est une région montagneuse couverte de forêts où l’oued Srou, affluent de l’Oum Er-Rebiâ, et l’Oued Chbouka prennent leurs sources.La majeure partie du cercle de khenifra s’étend à l’ouest de l’Oum Er-Rebia avec une légère avancée sur le Moyen Atlas grossièrement limitée par l’Oued Srou et la ligne de crêtes joignant ce dernier aux sources de l’Oum Er-Rebia.La province de Khenifra a toujours été considérée comme un véritable château d’eau du Maroc .En effet, les plus importants fleuves du pays y prennent naissance, notamment Oum Er-Rebia et ses affluents Chtouka et Srou, Oued Moulouya et son affluent Ansguemir, Oued Grou, affluent de Bouregreg, Oued Ksiksou et Oued Boukhmira.Le climat de cette région se caractérise par sa continentalité qui influe sur mes amplitudes thermiques saisonnières, voir même journalières . A un hiver rigoureux, succède un été chaud . La pluviométrie varie selon les régions entre 400 et 700 mm/an en moyenne . Les précipitations, en hiver sous forme de neige, sont abondants sur le plateau de Bekrite, le col du zad et le Haut Atlas. La combinaison de la température et la pluviométrie est de nature à créer des conditions favorables à des ceintures de végétation : ainsi, on verra se succéder altitudinalement, des forêts de Kharroubier, chênes verts, et cèdres. Jouissant de cet environnement naturel favorable et de par sa situation géographie, la province de Khénifra a des potentialités naturelles énormes lui permettant d’être un pôle d’attraction pour les amateurs de tourisme de montagne (randonneurs, chasseurs et pêcheurs…). Il s’agit, en particulier, d’espaces couverts de cèdres et de chênes verts, de rivières (riches en poissons tels que la truite et les brochets) et des lacs tels que Aguelmame Aziz (situé en pleine forêt sur une superficie d’environ 62ha), Ouiouane, Afrennourir, Tifounassine, Amghas, N’Douit et Miaâmmi.Une faune cynégétique importante et diversifiée participe, également, à la richesse de cette région. Elle a permis, d’une part, de créer une vingtaine d’amodiations de droit de chasse (les espèces les plus fréquentes sont : le sanglier, le perdreau, le lièvre, la palombe, le chacal et le renard), d’autre part, et dans le souci de sauvegarder le mouflon qui constitue une espèce rare et particuliére à la région montagneuse du Haut Atlas, une réserve a été crée au niveau de la région de Tounfite, sur une étendue de 20 805 ha à prédominance de cédres et de genévrier.

samedi 2 mars 2013

Aguelmame Sidi Ali


Aguelmame Sidi Ali 

est un lac marocain qui se situe dans la province de Khénifra, juste à la frontière de la province d'Ifrane en plein cœur du Moyen Atlas. Sa superficie est de 500 Ha, la profondeur de 36 m et est situé à 2100 m d'altitude, dominé par le bord du Jbel sidi Ali qui culmine à 2395 m (Jbel Bouyizane) formé d'un massif de roches volcaniques, bord Est du lac on y trouve une forêt variée formée de Cedrus atlantica, de Juniperus thurifera et de Quercus rotundifolia. L'autre rive du lac est bordée par une grande plaine marécageuse (Ta’nzoult) arrosée par des sources et ruisseaux la végétation dominante est : le Juncus, le Rumex par une sorte d'algue : Scirpus, ce site s'étend sur aire d'environ 1750 Ha, la pluviométrie annuelle moyen de 1100 mm. En plein cœur du Moyen Atlas, dans un décor pittoresque reposant, le site d'Aguelmame Sidi Ali se situe dans un axe névralgique de l'écotourisme marocain à environ 25 km de Midelt, sur la route P 21 que l’on rejoint en partant d’Ifrane en pleine forêt de cèdres à 55 km au sud-est d’Azrou par la route de Midelt à 18 km de Timahdit, une petite route s’embranche à gauche sur la route et mène au bord du lac.
Le lac tire son nom d’un marabout installé sur sa rive Est. Truite, carpes, perches et gardons y font le bonheur des pêcheurs. Sur les pentes en partie boisées qui l’entourent, des plaques de neige subsistent jusqu’au printemps, et les pâturages y attirent en été les pasteurs Beni Mguild.  est un lac marocain qui se situe dans la province de Khénifra, juste à la frontière de la province d'Ifrane en plein cœur du Moyen Atlas. Sa superficie est de 500 Ha, la profondeur de 36 m et est situé à 2100 m d'altitude, dominé par le bord du Jbel sidi Ali qui culmine à 2395 m (Jbel Bouyizane) formé d'un massif de roches volcaniques, bord Est du lac on y trouve une forêt variée formée de Cedrus atlantica, de Juniperus thurifera et de Quercus rotundifolia. L'autre rive du lac est bordée par une grande plaine marécageuse (Ta’nzoult) arrosée par des sources et ruisseaux la végétation dominante est : le Juncus, le Rumex par une sorte d'algue : Scirpus, ce site s'étend sur aire d'environ 1750 Ha, la pluviométrie annuelle moyen de 1100 mm. En plein cœur du Moyen Atlas, dans un décor pittoresque reposant, le site d'Aguelmame Sidi Ali se situe dans un axe névralgique de l'écotourisme marocain à environ 25 km de Midelt, sur la route P 21 que l’on rejoint en partant d’Ifrane en pleine forêt de cèdres à 55 km au sud-est d’Azrou par la route de Midelt à 18 km de Timahdit, une petite route s’embranche à gauche sur la route et mène au bord du lac.
Le lac tire son nom d’un marabout installé sur sa rive Est. Truite, carpes, perches et gardons y font le bonheur des pêcheurs. Sur les pentes en partie boisées qui l’entourent, des plaques de neige subsistent jusqu’au printemps, et les pâturages y attirent en été les pasteurs Beni Mguild.



Lac Ouioune


Ouiouane 

est un lac situé dans la province de Khénifra au Maroc, à 34 km de M'rirt sur la route de Aïn Leuh (coordonnées : 33° 08’ N 05° 21’ W). Il s'agit d'un lac d’origine artificielle, alimenté par des sources avoisinantes, ce lac se situe à 1600 m d’altitude et s'étend sur une superficie de 40 ha.
Cette région connaît un essor économique en raison de l'infrastructure routière due à la construction du barrage hydro-électrique de Tanafnit-Elbordj.
Ce plan d'eau est à considérer à l'intérieur d'un complexe karstique composant, en plus de lac Ouiouane, l'Aguelmame n'Harcha (petit marécage riche en végétation, alimenté par des petites sources limnocrènes) et l'Aguelmame Ou Houli (petit lac au fond d'une dépression). Zone humide semi-artificielle de 40 ha, peu profonde (14 m) et relativement envasée. Le niveau d'eau y est rehaussé à l'aide d'une digue. Les eaux eutrophes et riches en végétation aquatique : Potamogeton pectinatus, Myriophyllum spicatum et des Chara sp.
L'envasement permet par endroits le développement d'importantes Typhaies et Phragmitaies. Les versants du lac sont boisés ou couverts de chênes verts et les cultures ne sont qu'à son aval.

Ville : Khenifra



La ville de khénifra:


 Située au sud des régions précédentes, la province de khenifra s’intègre à la fois dans le Haut Atlas et le plateau central, ce qui explique son relief accidenté où altèrent la montagne et les plateaux dont l’altitude est variable. Trois régions naturelles bien distinctes caractérisent cette province ; la bassin versant de la haute Moulouya correspond administrativement au cercle de Midelt, limité au Sud par le Haut Atlas culminant au jbel Ayachi (3757m), et Moâsker (3277m), au Nard par le causse du Moyen Atlas.La partie centrale de la province, qui correspond administrativement au cercle d’El Kbab, n’est autre qu’une partie du Dir du Moyen Atlas, c’est une région montagneuse couverte de forêts où l’oued Srou, affluent de l’Oum Er-Rebiâ, et l’Oued Chbouka prennent leurs sources.La majeure partie du cercle de khenifra s’étend à l’ouest de l’Oum Er-Rebia avec une légère avancée sur le Moyen Atlas grossièrement limitée par l’Oued Srou et la ligne de crêtes joignant ce dernier aux sources de l’Oum Er-Rebia.La province de Khenifra a toujours été considérée comme un véritable château d’eau du Maroc .En effet, les plus importants fleuves du pays y prennent naissance, notamment Oum Er-Rebia et ses affluents Chtouka et Srou, Oued Moulouya et son affluent Ansguemir, Oued Grou, affluent de Bouregreg, Oued Ksiksou et Oued Boukhmira.Le climat de cette région se caractérise par sa continentalité qui influe sur mes amplitudes thermiques saisonnières, voir même journalières . A un hiver rigoureux, succède un été chaud . La pluviométrie varie selon les régions entre 400 et 700 mm/an en moyenne . Les précipitations, en hiver sous forme de neige, sont abondants sur le plateau de Bekrite, le col du zad et le Haut Atlas. La combinaison de la température et la pluviométrie est de nature à créer des conditions favorables à des ceintures de végétation : ainsi, on verra se succéder altitudinalement, des forêts de Kharroubier, chênes verts, et cèdres. Jouissant de cet environnement naturel favorable et de par sa situation géographie, la province de Khénifra a des potentialités naturelles énormes lui permettant d’être un pôle d’attraction pour les amateurs de tourisme de montagne (randonneurs, chasseurs et pêcheurs…). Il s’agit, en particulier, d’espaces couverts de cèdres et de chênes verts, de rivières (riches en poissons tels que la truite et les brochets) et des lacs tels que Aguelmame Aziz (situé en pleine forêt sur une superficie d’environ 62ha), Ouiouane, Afrennourir, Tifounassine, Amghas, N’Douit et Miaâmmi.Une faune cynégétique importante et diversifiée participe, également, à la richesse de cette région. Elle a permis, d’une part, de créer une vingtaine d’amodiations de droit de chasse (les espèces les plus fréquentes sont : le sanglier, le perdreau, le lièvre, la palombe, le chacal et le renard), d’autre part, et dans le souci de sauvegarder le mouflon qui constitue une espèce rare et particuliére à la région montagneuse du Haut Atlas, une réserve a été crée au niveau de la région de Tounfite, sur une étendue de 20 805 ha à prédominance de cédres et de genévrier.

mercredi 20 février 2013

agulmeme azagza


Aguelmame Azegza 


(أكلمام أزﯕزا), qui signifie « le lac vert » en berbère, est un lac naturel situé à 30 km de la ville Khénifra au Maroc. D'origine karstique, à une altitude 1474 m, enclavé et occupant une zone dépressive d'une profondeur de 26 m, il est entouré de reliefs calcaires, couvert d'une forêt à prédominance de cèdres et de chênes, sa situation en pleine cédraie Moyen Atlasique lui confère une beauté merveilleuse, sa superficie d'environ 62 ha.
         Le bioclimat de sa région est de type sub-humide à humide, les précipitations moyennes estimées à 1150/an. Il est riche en poissons tel que le brochet : (poisson très apprécié pour la qualité de sa chair mais a tendance à disparaître pour des raisons du biotope qui connaît une dégradation par l'homme : pêche abusive, pollution outre le manque de précipitation), tanche, carpe, et gardon. Ces espèces de poissons ont été introduites par les eaux et forêts françaises au début du XXe siècle.
          Le lac a connu une baisse alarmante de son niveau suite au manque de précipitations. Son emplacement en pleine cédraie d'Ajdir Ezayane lui donne une priorité privilégiée à faire du lac et sa région un site éco-touristique de premier choix. Ce lac est classé patrimoine national Classement patrimoine national suite à l'arrêté du 29 juillet 1949 portant classement –B.O N° 1919 du 5 août 1949  : Site de l’Aguelmane Azigza, du plateau d’Ajdir et des Tignelmamines.


lundi 18 février 2013

Sources Oum Rabie


Ouiouane 

est un lac situé dans la province de Khénifra au Maroc, à 34 km de M'rirt sur la route de Aïn Leuh (coordonnées : 33° 08’ N 05° 21’ W). Il s'agit d'un lac d’origine artificielle, alimenté par des sources avoisinantes, ce lac se situe à 1600 m d’altitude et s'étend sur une superficie de 40 ha.
Cette région connaît un essor économique en raison de l'infrastructure routière due à la construction du barrage hydro-électrique de Tanafnit-Elbordj.
Ce plan d'eau est à considérer à l'intérieur d'un complexe karstique composant, en plus de lac Ouiouane, l'Aguelmame n'Harcha (petit marécage riche en végétation, alimenté par des petites sources limnocrènes) et l'Aguelmame Ou Houli (petit lac au fond d'une dépression). Zone humide semi-artificielle de 40 ha, peu profonde (14 m) et relativement envasée. Le niveau d'eau y est rehaussé à l'aide d'une digue. Les eaux eutrophes et riches en végétation aquatique : Potamogeton pectinatus, Myriophyllum spicatum et des Chara sp.
L'envasement permet par endroits le développement d'importantes Typhaies et Phragmitaies. Les versants du lac sont boisés ou couverts de chênes verts et les cultures ne sont qu'à son aval.

Sources Arougou

Sources Arougou:


Arougou. Situées dans la vallée d’Arougou, à 10 km de khénifra, les sources sont un lieu d’estivage pour les touristes internationaux.



dimanche 17 février 2013

Lac Tiguelmamine

Lac tiglmamin :


Tiglmamine ou Tiguelmamine, diminutif du mot berbère « Aguelmame » qui signifie « lac », est situé à 40 kilomètres de Khénifra au cœur du Moyen Atlas, au Maroc, à 1630m d'altitude et de profondeur de 20m. Le site est classé patrimoine national :
Le lac se situe dans l'aire géographique de la tribue Zayanes des Ait Boumzil et d'Ait Maii. Cet étang naturel se trouve au milieu d'une vaste dépression à fond plat, couverte de basaltes et de dépôts fins. Une large pelouse s'étend sur la plaine située au Sud et à l'Est du lac.
Faune invertébrée très abondante (surtout les vers, les insectes et les crustacés, etc.), et bien diversifiée, mais sans espèce particulière sur le plan biogéographique.
Deux espèces de poissons ont été introduites avant le classement du site dans la liste « RAMSAR » : la tanche, le gardon et le brochet, ce dernier étant encore entretenu (par déversement d'alevins). Comme herpétofaune, citons la couleuvre vipérine (sujet de grande taille collecté) et la forte abondance de grenouilles.
Les oiseaux donnent à cet étang un certain intérêt qui encourage à le maintenir comme site RAMSAR. Les dernières visites y ont montré au moins dix espèces estivantes : le Colvert (<200), le Casarca (<30), la Foulque macroule (>500), la Foulque à crête (>4), le Grèbe castagneux (>70) et le Grèbe à cou noir (2-4 indi.) sont nicheurs, alors que certains échassiers (Cigogne blanche, Echasse, Héron cendré... y trouvent une nourriture abondante. Signalons enfin la présence cet été de l'Ibis chauve (un individu se nourrissant sur le bord, puis sur un îlot).
C'est pratiquement le site moyen-atlasique le plus important pour l'hivernage d'oiseaux d'eau, malgré l'effectif relativement faible qu'il héberge (comparé aux autres sites RAMSAR du Maroc). 26 espèces y ont été notées et l'effectif maximum absolu enregistré est de 4700 oiseaux, essentiellement des ansériformes, avec des pics de 3000 siffleurs, 900 milouins, 400 casarcas et 300 chipeaux, sans oublier le colvert, le souchet, le morillon, le pilet, etc. Les deux espèces de foulques y sont régulières, totalisant plus du millier, dont quelque 10-20 foulques à crête. Parmi les grèbes, le castagneux et le G. à cou noir enregistrent 40-60 individus chacun. Les échassiers sont relativement peu abondants, bien que plusieurs espèces ont été observées.